Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouche
De l´homme auquel j´appartiens
Quand il me prend dans ses bras,
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose,
Il me dit des mots d´amour
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon c¶ur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause,
C´est lui pour moi,
Moi pour lui dans la vie
Il me l´a dit, l´a juré pour la vie
Et dès que je l´aperçois
Alors je sens en moi
Mon c¶ur qui bat.
Des nuits d´amour à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des ennuis, des chagrins s´effacent
Heureux, heureux à en mourir
Lili Marlene
Norbert Schultze, Hans Leip
Unsre beiden Schatten sah´n wie einer aus
daß wir lieb uns hatten, das sah man gleich daraus.
Und alle Leute solln es seh´n
wenn wir bei der Laterne steh´n,
wie einst Lili Marlene, wie einst Lili Marlene. |